La fin des mondes

Une à une les étoiles s’éteignirent
Laissant les vides en suspens
Se brisèrent les rayons de soleil
Sur la pénombre envahissant
Infinis et mondes inventés
Les poussières d’étoiles unies
Aux queues des comètes muettes
Le rien prit alors la parole
Pour se consumer en souvenirs

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